Ce blog est consacré à mes engagements bénévoles et artistiques ainsi qu'a mes découvertes littéraires.
Il s’agit pour ce roman d’un service presse, merci à l’auteur, Max Axel Bounda Moussavou, pour sa confiance.
J’ai été déçue par cette lecture, j’en suis désolée.
Tout d’abord, je ne comprends pas, comment un thriller pour jeunes adultes peut être qualifié de roman pour un public averti. Alors oui bien sûr, il est question de sexe, de chantage et de prostitution dans ce roman, mais selon moi, rien de trop osé, ou choquant.
Alors, un meurtre est commis au sein d’un campus d’université gabonaise. J’ai apprécié que l’histoire prenne place au Gabon. En effet, j’ai une amie gabonaise, l’auteur fait découvrir au lecteur quelques expressions d’un dialecte gabonais. C’est quelque chose que j’ai particulièrement aimé.
Pour moi, il s’agit plutôt d’un roman policier pour jeunes adultes, roman policier plutôt que thriller. Car dans un thriller le lecteur se doit de frissonner, d’avoir peur, ce qui ne fut pas le cas ici pour ma part.
Par contre, c’est très bien écrit, le style d’écriture est plutôt soutenu, il alterne entre la description des faits et dialogue, ce qui donne du dynamisme au récit. Mais il manque, à mon goût de description des décors et des personnages. Pour ajouter du dynamisme, l’auteur écrit à la première personne du singulier, c’est donc le personnage principal Thierry qui raconte l’histoire.
Par contre, je n’ai pas du tout adhéré à l’intrigue, peut-être un peu trop Young Adultes à mon goût, moi qui suis habituée aux intrigues policières complexes et surprenantes. Je trouve que celle-ci, manque de suspense, et de complexité, elle été cousu de fil blanc. Je n’ai pas frissonné de peur durant la lecture. Quel dommage ! Car lorsque je lis un thriller ou un roman policier, j’adore frissonner de peur, ou bien me poser des questions sur l’enquête. Ce qui ne fut malheureusement pas le cas au cours de ma lecture.
Peut-être suis-je désormais trop vieille pour apprécier l’univers que propose l’auteur ?
Un autre point gênant, durant ma lecture : je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, peut-être à cause du manque de description physique de ceux-ci. Pourtant l’un des personnages féminins : Jessica tient des propos plutôt féministe, ce que j’apprécie.
Mon avis : plutôt déçu, par cette enquête qui se déroule au sein de l’université gabonaise. Selon moi, l’intrigue manque d’attrait et de suspense. Malgré un bon style d’écriture. Peut-être suis-je un peu vieille pour apprécier l’univers de l’auteur.
Pour ceux qui le souhaitent, voici le résumé de la quatrième de couverture : «Le cadavre d'une jeune femme est découvert sur le campus d'une Université Publique.
Elle se serait tuée en se rendant nuitamment dans un pavillon inachevé de la cité universitaire. La police déclare que la victime était ivre. Accident. Affaire classée.
Pourtant, la victime, directrice d'une agence d'hôtesses et d'escortes girls, ne vivait pas sur le campus, et n'avait rien à y faire. Enceinte de six mois, elle ne touchait pas à une goutte d'alcool. Alors comment est-elle réellement morte?
Aidée par, une jeune avocate pénaliste, sa meilleure amie, découvre que cette mort n'est peut-être pas si accidentelle que ça. Elle aurait un lien étroit avec des dossiers que la victime tentait de cacher le soir même de sa mort.
Harcèlements sexuels, sextapes, prostitutions, meurtres, enlèvements, menaces et chantages. Bientôt, elles vont mettre au jour un scandale qui pourrait éclabousser les plus hautes instances de la plus grande université du pays.
Mais, à trop approcher la vérité, c'est leur propre vie qu'elles mettent en danger. Il y'a des secrets qu'il vaut mieux ne jamais révéler... ».
Bonne lecture à tous.
Quant à moi, je vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures livresques.
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Bonjour, alors, je m'appelle Elsa je suis montée sur roulettes (en fauteuil roulant), ce qui ne m'empêche pas de croquer la vie à pleines dents. J'adore la lecture et encore c'est un euphémisme...
Bonjour, alors, je m'appelle Elsa je suis montée sur roulettes (en fauteuil roulant), ce qui ne m'empêche pas de croquer la vie à pleines dents. J'adore la lecture et encore c'est un euphémisme...
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