Mes aventures livresques : Le festival de la Grande Chasse du Quin , écrit par Olivier NEUMAYER, un service presse de la plate-forme Simplement, sortie prévue pour Halloween.

19.09.2025

Tout d’abord, cette lecture est un service presse donc, un grand merci à Olivier NEUMAYER sa confiance.

Alors, c’est un roman pour un public averti interdit aux moins de 18 ans. C’est un roman d’horreur, dans la lignée « des contes interdits ». Donc, pour ceux qui connaissent à ne pas mettre dans toutes les mains, c’est sanglant, avec beaucoup de sexe et de références gores et sexuelles. Ce qui dans certains cas, comme ici, ne me dérange absolument pas au contraire.

Néanmoins, je fus quelque peu déconcertée dans le premier tome de la lecture en effet j’avais cru comprendre que l’histoire prenait place au Moyen Âge. Ce qui n’est en fait pas le cas. J’ai eu du mal avec les 3 premiers chapitres avant de pouvoir me glisser dans l’univers.

Pour moi, mais ce n’est que mon avis il n’engage que moi, la description des personnages principaux ne sont pas assez présentes..

Je ne sais pas pourquoi, mais j’en ai souhaité le récit prenne place au Moyen Âge ou à la renaissance. Peut-être cela irait mieux avec mes propres représentations de ce décor horrifique. Pour ma part, je manquais d’un peu de frissons.

Les 3 premiers chapitres passés, ce petit roman horrifique se lit très rapidement. De plus le lecteur trouvera de bonnes traductions des expressions anglaises ou latines au cours du récit.

Avec cette lecture le lecteur sera beaucoup confronté à l’action, comme souvent dans les romans de contemporains.

J’ai beaucoup aimé la construction du personnage de Quin, quand je trouve très bien construit pour un personnage horrifique.

Mon avis : malgré la difficulté de 3 premiers chapitres pour rentrer dans l’histoire, un petit roman d’horreur contemporain pour adultes. Une bonne petite lecture horrifique pour une soirée détente après une grosse journée de travail.

Pour ceux qui le souhaitent, voici le résumé : «Gringe le gringalet, Grelet le maigrelet ou Grichon le maigrichon, n’est pas un héros.
Il est celui qui suit, celui qui observe.

Quand un ami d’enfance les invite au festival de son nouveau village, Gringe et sa bande n’hésitent pas. Ils y découvrent une cité médiévale remise à neuf, animée par un carnaval déchaîné : une promesse de trois jours de fêtes libres, de vertiges inoubliables et de débordements légendaires — là où masques et sourires esquissent… autre chose.

Un voyage dans l’inconnu, dans l’incongru et dans l’inconvenant.

Bonne descente dans…

Le festival de la Grande Chasse du Quin

Sombre et absurde, drôle et cruelle, cette fable confronte les genres dans un crescendo narratif et stylistique oscillant entre crudité brute et éclats poétiques.
Pour mon premier roman, je ne cherche pas à séduire, mais à toucher celles et ceux qui sont prêts à affronter un imaginaire sans filtre ni concession — mêlant cauchemar halluciné, horreur satirique et fantastique grotesque.

Bonne lecture à vous !

Olivier Neumayer »[1] .

Voilà, bonne lecture à tous.

Quant à moi, je vous dis à bientôt, pour de aventures livresques.

[1] le résumé ainsi que l'illustration de la couverture proviennent Simplement Pro.